Le quotidien Milenio propose un court article sur une série de fouilles de sauvetage entreprise le long de l'autoroute qui doit rallier la capitale yucatèque à Chetumal, son homologue de l'état voisin du Quintana Roo. Comme tout projet de construction, la loi mexicaine impose une série d'explorations de surface pour établir la présence de vestiges archéologique. La péninsule du Yucatan en compte déjà de très nombreux.
Il n'est donc pas si surprenant que l'équipe dirigée par l'archéologue Carlors Peraza Lope, co-directeur du Projet Mayapan par ailleurs, ait rapidement acquis l'existence de deux nouveaux sites baptisés Xiol et Hoal. C'est le premier qui a pour l'instant laissé la documentation la plus complète. Avec une occupation courant entre le Préclassique moyen et l'arrivée des Espagnols, Xiol était un centre de moyen importance qui semble avoir connu son apogée entre 800 et 900 de notre ère.
Les archéologues ont effectué un travail de prospection et de fouilles entre février et novembre 2014 qui a abouti à la découverte de metates, ces pierres à moudre si typiquement méso et centroaméricaine, des vaisselles, des restes de construction en matériaux non-périssables et des perles en pierre verte. Aux restes de temples et d'habitations, il convient d'ajouter la présence de plateformes longues de 35 à 40 m. Peraza Lope a estimé que la population du site pourrait avoir atteint les 4000 habitants.
Il n'est donc pas si surprenant que l'équipe dirigée par l'archéologue Carlors Peraza Lope, co-directeur du Projet Mayapan par ailleurs, ait rapidement acquis l'existence de deux nouveaux sites baptisés Xiol et Hoal. C'est le premier qui a pour l'instant laissé la documentation la plus complète. Avec une occupation courant entre le Préclassique moyen et l'arrivée des Espagnols, Xiol était un centre de moyen importance qui semble avoir connu son apogée entre 800 et 900 de notre ère.
Les archéologues ont effectué un travail de prospection et de fouilles entre février et novembre 2014 qui a abouti à la découverte de metates, ces pierres à moudre si typiquement méso et centroaméricaine, des vaisselles, des restes de construction en matériaux non-périssables et des perles en pierre verte. Aux restes de temples et d'habitations, il convient d'ajouter la présence de plateformes longues de 35 à 40 m. Peraza Lope a estimé que la population du site pourrait avoir atteint les 4000 habitants.
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